Je parle de phénomène pour attirer le chaland, vous vous imaginez bien... Mais c'est un fait, et ce ne sont pas les commentaires dispos par ci par là à ce sujet qui diront le contraire, il y a une sorte de "fascination" pour ces petites personnes avides de sexe. Ca rappelle un peu le film "Freaks" de Tod Browning, c'est de la curiosité malsaine peut-être, mais après tout c'est du cul, et pour une fois ce ne sont pas des canons de la beauté qui sont mis en scène.

A titre perso, ça m'excite... j'avoue. En tout cas ça ne me laisse pas indifférent. Bien sûr, la situation elle-même et la détermination de ces filles à être aussi chaudes n'y sont pas pour rien ! Je crois que ce que j'aime le plus, c'est voir leur petits doigts potelés ne pas pouvoir faire le tour des gros sexes qu'on leur propose... Mais une chose m'inquiète dans cette fascination. Je me demande si inconsciemment on ne fait pas un parallèle entre "petite taille" et "petit âge". Ca m'inquiète, bien sûr, parce que d'un intérêt qu'on pourrait qualifier de bizarre, on en arrive à un intérêt carrément malsain ! Bon, il s'agit tout de même ici de femmes à part entière, et c'est cette caractéristique surtout qui provoque l'excitation.

En tout cas, il existe des stars dans ce petit monde. En tout cas, il en existe une : Bridget. Elle est née en 1980, mesure 1,14m et a droit à sa page Wikipedia ! Elle a joué dans des films pornos bien sûr, mais aussi dans quelques métrages plus traditionnels, comme "8mm" par exemple. Sa particularité physique est son atout, mais pas seulement puisqu'elle a un appétit féroce et a un paquet de gang-bangs à son actif !

 

 

Ca n'est pas la seule actrice dans le genre, bien sûr. J'ai découvert récemment une actrice minuscule du nom (réel ?) de Lilly... Voilà quelques captures de la vidéo :

D'autres aussi travaillent dans le monde merveilleux de l'industrie pornographique, mais sont parfois bien laides... Les déformations physiques liées au nanisme sont parfois lourdes, et les opérations chirurgicales subies par ces gens sont terribles et non exemptes de séquelles et cicatrices. Je le précise donc à nouveau, il s'agit probablement d'une "curiosité malsaine", mais bel et bien aussi d'excitation sexuelle. C'est donc en toute honnêteté que je reconnais à certaines de ces actrices un petit quelquechose qui m'interpelle.

Notons qu'il existe bien sûr aussi des acteurs nains. Vous en trouverez plein sur Google Image (pour faire simple), mais j'admets être moins intéressé alors je n'en parlerai pas plus ;-)

J'exagère... Je n'étais pas amoureux d'elle. Mais j'étais ado, j'aimais bien X-Files, et j'aurais bien aimé qu'enfin Mulder et Scully se décident à sortir ensemble, à force de se tourner autour, bordel !
Il n'empêche que je lui trouve un certain charme. 40 ans cette année, on la retrouvera en juillet dans un nouveau film de Chris Carter "The X-Files: I Want to Believe" où elle retrouvera son rôle de Dana Scully. Je ne suis pas un X-Files-maniac, donc ce film ne m'intéresse pas vraiment (disons que je n'en attends rien), mais c'est l'occasion d'une petite recherche sur Google Image, avec comme mot clé "Gillian Anderson" ;-)

 
Du haut de son mètre 60 elle n'a pas eu beaucoup l'occasion de montrer ses charmes (ou alors j'ai loupé ça...)

 

J'aime ce type de femme, pas grand chose à dire de plus... C'est aussi parce que physiquement elle me rappelait une amie dont j'étais amoureux presque secrètement je crois...

Sur le même principe que le fast-food, il semblerait qu'Internet et les sites de vidéos en streaming ont changé les habitudes de "consommation" de la pornographie. Je lisais ça quelque part sur le net il y a une paire de jours, et ça m'a intrigué...
Développons. Il semble que depuis l'avènement des connexions haut-débit et l'arrivée de sites comme Youporn (pour prendre un exemple), on ne cherche plus à avoir une oeuvre intégrale, un film, mais bel et bien une succession de scènes hard.

Pour être honnête, ça fait des années (j'allais dire des décennies, mais en ce qui me concerne c'est presque vrai... déjà...) que je regarde un film porno par passages d'une dizaine de minutes, sautant de scène en scène, zappant les dialogues et la trame de l'histoire (oui oui, j'aurais pu mettre des guillemets ici). En soi ça n'est donc pas une découverte, pour moi, consommateur de porno depuis mon plus jeune âge. Internet a remplacé les cassettes VHS et lorsque j'ai besoin de "décompresser", une scène tirée de n'importe quel film et montrant une action à mon goût fait l'affaire (vous comprenez ce que je veux dire j'imagine).

Seulement ça change la donne pour les gens qui fabriquent ce genre de produit ! On ne réfléchit donc plus forcément en "histoire" et en "métrage" (quoi que la vidéo a depuis longtemps remplacé la pellicule dans ce domaine... rentabilité maxi !) mais bien en "scène" ou en "action". Les plateformes de diffusion porno en streaming ne s'encombrent pas de l'emballage, balançant un produit formaté allant à l'essentiel. Il subsiste un problème je crois si on avance dans cette voie : la fin de la starisation ! Quid de la notoriété d'une actrice porno si de toutes façons sa prestation ne concerne plus qu'une performance physique, une brune remplace alors sans difficulté une autre brune, et n'importe quelle blonde à forte poitrine fait l'affaire... Est-ce qu'on aura encore des stars du X dans 10 ans, comme on a pu en avoir sur les 30 dernières années ?

D'un autre côté, on bénéficie maintenant de porno gratuit. Ce n'était pas le cas il y a 10 ans. Le fait que faire du porno et le diffuser soit maintenant à la portée de tout le monde a peut-être bien tué le marché, et les distributeurs établis n'ont qu'à bien se tenir, et réagir vite, pour s'adapter à la diffusion en streaming gratuit, en proposant des alternatives "abordables" (j'estime que 30€ par mois pour un site "porno pro" c'est beaucoup trop)... sous peine de se faire tuer par le monde amateur, qui parfois peut aisément être qualifié de semi-pro...