Voilà une idée que je vais développer dans un prochain article... Suggestions bienvenues ;-)

Ca fait pas loin de 15 ans qu'on en parle, l'air de rien. Il ne s'agit pas des relations sexuelles dans une rame toute pourrie de la ligne 3 (et là, je précise deux choses : je ne suis pas parisien mais je crois me souvenir que cette ligne n'est pas la plus récente, et cette blague est nulle mais j'assume, je ne pouvais pas ne pas la faire), mais bien de l'homme urbain qui fait attention à son corps et à son style.

Quelques règles de base :
- le métrosexuel n'aime pas les poils. Il les chasse un à un, rasant ou épilant les poils du torse, des aisselles, et plus si affinités.
- le métrosexuel n'aime pas les vêtements vraiment usés. Il ne porte que des fringues "vintage", qui semblent usés mais ont été fabriqués comme ça directement.
- le métrosexuel aime la mode, et même mieux : il est une mode.
- le métrosexuel fait du sport (ou de la muscu en prenant des petites pilules pour aider à l'augmentation de la masse musculaire : il fait de la gonflette).
Et enfin, pour faire plaisir aux femmes présentes ici : le métrosexuel se lave (ce qui n'est pas le cas de tous les mâles français, les statistiques le prouvent);

Alors justement, la question est là... Est-ce que ça plaît aux femmes ? Après tout, la virilité s'entend (peut-être) aussi par les poils, l'odeur, les fringues sales... On a parfois l'impression que pour paraître viril il faut avoir une pilosité d'homme des cavernes et là, à l'inverse, on essaie de nous faire nous raser intégralement le corps !

Personnellement, je me rase les couilles. Y'a pas grand chose de métrosexuel là dedans, c'est juste sexuel, j'aime la sensation, et ma femme aussi. Cette dernière phrase n'avait pour unique but que de placer un mot plus osé que les autres, ça plaît aux moteurs de recherche... Viendez à moi petits visiteurs anonymes ;)

En fait, vous savez déjà tous ce qu'est un métrosexuel. Mais j'espère au moins vous apprendre un mot aujourd'hui, ce sera peut-être "übersexuel". Qu'est-ce ? Et bien, tout simplement le contraire de métrosexuel. L'homme dans sa virilité la plus pileuse, l'homme dans son machisme le plus crasse, l'homme des cavernes que j'évoquais tout à l'heure en fait.

Maintenant qu'on a coupé le monde masculin en deux entités contraires, on va peut-être s'intéresser aux vraies gens. Celles qui n'en ont rien à battre de la mode, mais qui prennent soin d'elles. Les personnes qui se lavent tous les jours, qui se rasent au moins le visage, qui font des soins à leurs cheveux, qui se parfument... Bref les gens "normaux". Parce que c'est bien beau de vouloir nous vendre un way of life, mais j'espère qu'on peut quand même ne pas se reconnaître ni dans un camp ni dans un autre ! Et puis après tout, les femmes préfèrent-elles les métrosexuels, les übersexuels, ou est-ce qu'elles s'en moquent éperdument ?

En tout cas... je continuerai à me raser les couilles.

Je dois avouer que l'idée m'a toujours excité. J'ai déjà pratiqué il y a des années ce type de délire, j'avais une copine qui m'avait initié au godemichet. J'avoue que ce n'était pas terriblement agréable au départ, mais à force de patience, j'ai fini par prendre mon pied. Je ne suis pas resté en contact avec cette fille après qu'on ait rompu. J'ai quand même le souvenir ému de quelques soirées bien chaudes pendant lesquelles elle me faisait découvrir de nouvelles sensations, c'est resté ancré dans ma tête et je pense qu'encore maintenant j'aimerais faire participer ma femme... mais vous l'aurez compris si vous lisez ce blog régulièrement : elle n'est pas vraiment ouverte à la nouveauté :(

 Je sais me débrouiller seul, mais c'est évidemment moins drôle.

 Je ne crois pas qu'il y ait une quelconque histoire de besoin d'être dominé dans cette affaire, c'est vraiment strictement physique... la sensation de la pénétration procure une certaine excitation, et le "gode-ceinture" laisse à la partenaire les mains libres pour plein de choses sympas, c'est là que ça dépasse le simple godemichet pour lequel je n'ai pas vraiment besoin d'aide... La preuve :

Titiller la prostate est une chose, la faire titiller par sa partenaire en est une autre. J'aimais vraiment ce qu'on faisait Emilie et moi.

Je n'ai pas trouvé de super vidéo pour illustrer cet article... en voilà une correcte tout de même ;)